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C'est une bataille incessante. Chaque année, la prolifération de poux revient sur le devant de la scène. La tête de vos enfants commence à gratter et au premier contrôle, il faut se rendre à l'évidence, les poux sont une nouvelle fois de retour. Alors que des dizaines de produits sont disponibles en pharmacie, certains parents optent pour une solution beaucoup plus radicale et impensable : les produits vétérinaires. 
Dansun communique publié ce lundi 15 décembre  dévoilé par Le Parisien, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation et de l'environnement (Anses) a donné l'alerte : "Un traitement antiparasitaire insecticide ou acaricide destiné aux animaux de compagnie ne doit en aucun cas être administré à un être humain, a fortiori un enfant".

Des conséquences graves pour les enfants ?

En résumé, un traitement vétérinaire n'est pas adapté à un être humain. Si cela pourrait paraître logique, plusieurs agences régionales ont fait étalage de certains dérapages. "Les tiques, puces et poux broyeurs présents chez l'animal ne sont pas les mêmes que le pou humain même s'ils appartiennent à la même famille zoologique", explique le directeur de l'Anses, Jean-Pierre Orand dans le quotidien. 
Si les produits ont pour vocation de bloquer la respiration de ces petites bêtes, le produit lui-même, le dosage et les effets secondaires sont bien distincts. Comme le rappelle Jean-Pierre Orand, "la balance bénéfices-risques est évaluée pour un dosage exclusivement animal". Les conséquences pour les enfants pourraient être beaucoup plus graves.

Il a suffi d’un battement de paupières pour que tout vole en éclats. Quatre amis étaient réunis autour d’une table, dans une salle de répétition. Ils se connaissaient et faisaient du théâtre ensemble depuis vingt ans. Denis, l’auteur, lisait sa biographie de Staline, qui devait donner lieu à une pièce. Les trois autres l’écoutaient : Stan, le metteur en scène, Emmanuelle et Audrey, les comédiennes. A un moment, Audrey a vu Denis lever son regard vers Emmanuelle. Dans le battement de paupières qui a suivi, elle a compris ce qui se jouait : non pas du théâtre, comme cela aurait dû être en ce jour de répétition, mais la naissance d’une passion. Alors, Audrey a explosé. Elle a décidé de ne pas arrondir les angles, mais de dire tout ce qui n’allait pas. Sur eux quatre, leur façon d’être, de vivre et de travailler. Quitte à tout détruire. Ainsi commence une très belle pièce, présentée dans le cadre du Festival d’automne. Elle s’appelle Répétition, tout simplement, et Pascal Rambert, qui la met en scène au Théâtre de Gennevilliers (Hauts-de-Seine), l’a écrite spécialement pour les acteurs qui la jouent : Audrey Bonnet, Emmanuelle Béart, Denis Podalydès et Stanislas Nordey. Il y a longtemps que Pascal Rambert voulait réunir ces quatre-là. Il les connaît bien, pour avoir déjà travaillé avec eux. Comme il ne croit pas à la séparation entre la réalité et la fiction, il s’est inspiré de leur façon d’être, de l’image qu’ils dégagent, de leur manière de jouer. Il va jusqu’à donner leurs prénoms aux personnages

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Les vélos dans l’œil de la sécurité routière. Ce lundi, le Conseil national de la sécurité routière va se réunir à l’Assemblée nationale et recommander «d’étendre aux agglomérations le principe d’amendes minorées adaptées aux cyclistes». L’instance préconise que neuf infractions fassent désormais l’objet de petites prunes: sens interdits, feux rouges et stops grillés, conduite en téléphonant, non-respect de la priorité pour les piétons…

Sortie ce week-end de son mode d'hibernation, la sonde New Horizons n'est plus qu'à sept mois de son premier objectif. Le 14 juillet, elle survolera au plus près Pluton puis poursuivra sa route à toute vitesse à destination de la ceinture de Kuiper. Aujourd'hui débutent les activités de pré-rencontre. La sonde New Horizons se présente une forme triangulaire dont les côtés mesurent 2,1 et 2,7 m. Elle est surmontée d'une antenne parabolique à haut gain de 2,1 m de diamètre. Au lancement, elle pesait 478 kg, dont 77 kg de propergols et 30 kg d'instruments scientifiques.

Un avion long-courrier a manqué d'être percuté par un drone en juillet dernier à l'aéroport londonien d'Heathrow, selon un rapport dévoilé par le Sunday Times. L'incident s'est produit entre un drone et un Airbus.A320, avion qui peut transporter jusqu'à 180 passagers, le 22 juillet dernier, à une altitude de 213 mètres, selon des extraits du rapport publiés dimanche. Le journal précise qu'un rapport officiel complet sera publié vendredi, alors que les inquiétudes grandissent autour de potentielles collisions entre drones, que tout le monde peut s'acheter dans les commerces, et avions assurant des vols commerciaux.

Les drones remportent un immense succès en cette période de Noël au Royaume-Uni, certains modèles pouvant être acquis pour la modique somme de 30 Livres (38 euros), selon l'association des vendeurs de matériels électroniques. Le syndicat britannique des pilotes de ligne BALPA a demandé que les drones qui partagent l'espace aérien avec des avions de ligne ou de fret soient uniquement "pilotés" par des personnes ayant une formation équivalente à celle des pilotes.

Après une longue prise de tête, beaucoup y ont vu un anagramme de "Harry returns! Won't say any details now, a week off, no comments" ("Harry revient! Je n'en dirai pas plus, je pars pour une semaine, sans commentaires"), mais l'officialisation aura mis un peu plus de temps à voir le jour. Reste maintenant à savoir ce que contiendront ces fameuses nouvelles, organisées autour des événements du sixième tome (Le Prince de Sang-Mêlé), en sachant que l'une d'elle sera consacrée à Drago Malefoy, célèbre ennemi du héros, incarné par Tom Felton sur grand écran.

Avec ces récits inédits, J.K. Rowling prouve en tout cas qu'il lui est bien difficile de dire adieu à Poudlard une bonne fois pour toutes. Si le dernier roman de la saga est sorti en 2007, sa créatrice a depuis signé le spin-off "Les Animaux fantastiques" (dont elle vient de rédiger le scénario de l'adaptation)  ainsi que, déjà, deux nouvelles parues en 2014 et respectivement centrées à la chanteuse de jazz Cristina Moldubec et à Dolorès Ombrage, professeur de défense contre les forces du mal dans Harry Potter et l'Ordre du Phénix.

La nuit dernière se tenait la 42e cérémonie des American Music Awards 2014, au Nokia Theatre de Los Angeles. La chanteuse américaine et le groupe britannique font partie des grands gagnants.

La cérémonie American Music Awards 2014 s'est tenue dimanche dernier, au Nokia Theatre de Los Angeles. One Direction, Katy Perry et Beyoncé sont les grands vainqueurs de cette édition 2014. Le groupe britannique repart avec trois trophées dont le plus prestigieux, celui de meilleur artiste de l'année. La chanteuse américaine Katy Perry a été, elle, récompensée à deux reprises, notamment par le prix de l'artiste féminine de l'année. Enfin, Beyoncé a reçu deux prix, dont celui du meilleur album soul-R'n'B, pour son dernier album.

Pitbull animait la soirée. Elle a été ponctuée de performances live. Ainsi Taylor Swift a chanté son titre Blank Spacesur scène. Lorde a interprété son dernier tube, issu de la bande-originale du film Hunger Games: la Révolte - partie 1, Yellow Flicker Beat. Jennifer Lopez s'est également produite sur la scène du Nokia Theatre, avec Iggy Azalea, sur le titre Booty.

À noter la présence de Diana Ross, qui a remis un prix d'honneur à Taylor Swift. Décidément cette cérémonie lui porte chance puisqu'elle avait déjà remporté quatre récompenses lors de l'édition 2013.

Samedi, Tamir E. Rice passe l'après-midi sur une aire de jeux. Le jeune garçon, originaire de Cleveland (Ohio) s'amuse à viser les passants avec son pistolet à billes. Un homme assiste à la scène et prévient la police. À deux reprises, explique le journal local, le Plain Dealer, il précise à l'agent au bout du fil que l'arme du garçon est probablement «fausse». Deux policiers arrivent sur place. Ils demandent au jeune garçon de lever les mains en l'air, mais, selon la police, il refuse et se saisit de l'arme à sa ceinture. Les policiers font feu, par deux fois. Tamir est touché à l'estomac. Transporté dans un état grave à l'hôpital, selon le site internet Cleveland.com, le garçon décède dimanche matin.

La couleur de peau de Tamir ne semble pas être à l'origine du drame. C'est en tout cas ce que pense l'avocat de la famille du jeune afro-américain, cité par le New York Times. Il écarte la thèse d'une bavure raciste. «La vraie question, c'est pourquoi les officiers de police n'ont pas agi avec plus de précautions étant donné qu'ils avaient affaire à un enfant», explique-t-il. «Vous devez reprendre les faits en ayant à l'esprit qu'il s'agit d'un enfant de 12 ans et non pas d'un homme de 35 ans avec un passé criminel».

«Pourquoi ne l'ont-ils pas tasé?», s'interroge le père de Tamir dans le journal local, le Plain Dealer, alors que son avocat a décidé de mener sa propre enquête pour tenter de comprendre comment «un jeune garçon de 12 ans innocent peut mourir en jouant dans un parc». Le drame semble bien s'être noué autour du pistolet à billes du jeune garçon. Le capuchon orange, placé normalement sur le canon pour signaler que l'arme est factice, aurait été retiré. «Le pistolet à billes ressemble vraiment, vraiment à un vrai», a martelé la porte-parole de la police.